C'est en rentrant de campagne pour afficher les rapports de combat du jour que Varandore vit un campement entourant l'antre des Magiciens. Certes l'antre n'était pas secret, mais personne n'avait encore songé à l'assiégé. Enfin de nos jours tout était encore possible.
Varandore s'apprêtait à sonner la charge, et lorsqu'il le fit stupéfait il se rendit compte qu'il était seul... Bien entendu il avait eu l'air d'un imbécile mais personne ne pouvait en témoigner, il se moqua lui même de lui. *Quel farceur alors ce Varandore, mais moi le narrateur j'ai la classe*.
Seul contre tous *je vais pas m'amuser à compter le nombre d'ennemi en face* Varandore n'allait pas prendre le risque d'attaquer et de revenir avec des bleus chez lui et dans son antre reposant.
Il fit donc un petit détour et évoqua la situation au Bisounours Suprème, Tyty enfin Tyrion d'Urioniel:
-Varandore, on a jamais pensé à protégé notre antre, enfin va leur parler fait ton boulot de diplomate, et pour une fois évite l'incident diplomatique.
-Mais, mais...
-Ah pas de mais hein, allez et que sa saute!
-C'est pas juste
Varandore alla donc accomplir son devoir avec tout le courage la fougue et la prestence qu'on lui connait. Il sortit cette fois par la grande porte et s'avanca du campement. Une fois arrivé à destination, c'est à dire peu de temps après, ben oui quoi quand on assiège un chateau on se met pas à une distance très importante histoire de perdre moins de temps pour l'assaut mais c'est un détail qu eje vais me passer d'expliquer.
Une fois arrivé le fier et non pas le frêle Varandore demanda à voir le responsable de tout se foutoir au garde qui garder l'entré du camps (jusque là rien d'étonnant).
Quand Varandore vit une femme il comprit que ca n'allait pas être de la tarte, elles ne sont jamais contentes, et en plus elles sont veinales, mais qu'est ce qu'elles sont belles... Tyrion aurait fait une meilleur impression, après tout le Tyrion était et restera à jamais un dragueur invétéré.
-Mes salutations gente Dame, je suis Varandore de Varand dit la Poigne de Fer des Magiciens de l'Enfer, diplomate à mes heures et recruteur quand j'ai plus que ca à faire, c'est à dire souvent...
Puis-je savoir à qui ai-je l'honneur et qu'elle est la nature de la visite, car c'est pas tous les jours que je vois le repère des Magiciens assiégés, enfin si vous venez pour piller nos coffres je peux vous dire que vous avez amené un peu trop de monde, mais sa reste entre nous.
Varandore espérait ne pas avoir été ni trop grossier ni famillier, et avait acccomplie la première partie de sa mission espérons pour lui que la suite se passe aussi bien, sinon de manière bien pire histoire que nous spectateurs ayons de quoi nous divertir un peu. *J'ai la classe comme narrateur mais paräît que je fais trop d'aparter... D'abord même pas vrai Na!*
Quoiqu'il en soit la petite sorti de Varandore sous la pluie lui avait fait se salir encore un peu plus, déjà qu'il est pas bien propre, en plus dès qu'il voit une flaque de bou il ne résiste pas à l'envie de sauter dedans. D'ailleurs pas très loin de la reine une jolie flaque se montrer et Varandore fournissait un effort colossal pour ne pas s'y jeter (réflexe du peuple puant que voulez vous).